http://www.fqf.qc.ca/_etudecaracterisation_habitat_dindon_outaouais.pdfexemple du texte .
Par
ailleurs, à la fin de l’hiver et au début du printemps, les dindons sauvages vont se
déplacer du milieu forestier fermé vers un milieu plus ouvert afin de se reproduire, nicher
et élever les oisillons.
ou bien :
À la fin de l’hiver et au début du printemps, plus la neige au sol perdure longtemps, plus le
verdoiement est retardé, ce qui a un impact sur la nidification du dindon sauvage. Les dindes ont
besoin d’acquérir de l’énergie afin de pondre et de couver leurs œufs, et d’élever les poussins qui
vont en éclore. Cette énergie lui provient de sa nourriture, c’est-à-dire la verdure. Donc, si le
verdoiement se fait attendre, les dindes auront tendance à nicher plus tard, ce qui résulte en un
taux de succès plus faible, ou encore elles vont nicher malgré tout, mais elles manqueront
d’énergie pour élever leurs petits, ce qui résulte en une mortalité accrue des poussins. Autre
facteur, les poussins se nourrissent d’insectes. Or, le cycle vital des insectes est lié à la verdure.
Alors, plus le verdoiement est tardif, plus les poussins risquent d’éclore lors d’une période en
carence d’insectes, ce qui signifie un risque de famine plus élevé et donc, une mortalité accrue.
Pour déterminer ce paramètre, nous avons considéré que la période avec un recouvrement
neigeux se terminait lorsque l’épaisseur de neige au sol était nulle, et qu’il n’y avait plus de
périodes de trois jours ou plus avec de la neige au sol. Encore une fois, pour une question de
simplicité et de clarté, nous avons classifié les dates (voir tableau 17).
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