Joel Betty à Découverte!

Ne manquez pas l'emission Decouverte a Radio-Canada ce soir a 18h30 !!

M. Betty est un sauvaginier de ma région avec qui j'ai eu la chance de chasser à quelques reprises.

Il a été nommé scientifique de l'année!!

Ses recherches portent sur l'oies des neiges !!

oui j ai vus ca .pis c vraimnet interessant.bon calleur ausssi.

Zut!

J'ai aperçu le post 3 heures trop tard. Heureusement il a Tou.tv!

Patrick

Super intéressante la recherche !

Découverte : http://www.tou.tv/decouverte/S2010E20

Entrevue radio: http://www.radio-canada.ca/emissions/les_annees_lumiere/2010-2011/

C'est l'émission du 23 janvier 2011

C'est le premier sujet dans les deux cas...

Bonne ecoute!

belle étude fait par un passionné

Tres bon repportage.

C'est le gars pour qui je suis allé plonger au Nunavut en 2007. Un très bon chercheur maniaque de chasse c'est assez rare!

Tres bon reportage.

Merci pour le lien.

merci pour le lien, tres intéressent

MERCI CA VAUT LA PEINE D ETRE ÉCOUTÉ

Vraiment intéressant comme recherche !!

Merci pour le lien !

Tres interresaant comme reportage.

Je veux pas dénigré la personne ou meme FreeDuck. Mais il est scientifique de l'anné de Radio-canada. C'est tout un honneur et un tres bon chercheur. C'est quand meme pas une découverte d'un nouveau médicament pour une maladie. Il faut lui donner ce qu'il lui revient quand meme. Félicitation

Je voulais juste etre plus precis.

Citation :

Des travaux sur la migration des oiseaux récompensés
Mise à jour le vendredi 21 janvier 2011 à 9 h 11

Le biologiste de l'UQAR Joël Bêty


Le biologiste Joël Bêty, de l'Université du Québec à Rimouski, reçoit le titre de Scientifique de l'année 2010 de Radio-Canada « pour la démonstration remarquable de l'instinct de conservation qui entraîne les oiseaux dans leurs grandes migrations ».

Ce prix est décerné chaque année par l'émission de radio Les Années lumière.


Photo: UQAR

L'animateur des Années lumière, Yanick Villedieu, le récipiendaire, Joël Bety et le directeur de l'information à Radio-Canada, Alain Saulnier

Le chercheur et son étudiante, Laura McKinnon, ont démontré à l'aide d'une expérience menée dans le Nord canadien que plus hautes sont les latitudes auxquelles nichent les oiseaux migrateurs, plus grandes sont leurs chances d'échapper aux prédateurs.

En effet, à chaque degré de latitude vers le nord, le risque de prédation des oeufs d'oiseaux diminue de 3,6 %. Ceci représente un avantage majeur qui expliquerait pourquoi les oiseaux effectuent ces voyages épuisants, franchissant des continents entiers. Les travaux ont été publiés dans la revue Science.

Un dispositif ingénieux

L'expérience consistait à installer 1555 nids artificiels entre le sud de la baie James et le nord de l'île d'Ellesmere, ce qui représente une distance d'environ 3350 km.

Les chercheurs y ont déposé près de 10 000 oeufs de caille (de vrais oeufs) et noté le nombre d'oeufs détruits par les prédateurs.



Les oeufs d'un bécasseau croupion blanc

Après deux jours seulement, les oeufs déposés dans plusieurs dizaines de nids au sud de la baie James étaient complètement détruits. Les prédateurs, surtout des renards, des corbeaux et des goélands, avaient fait leurs ravages. Par contre, très au Nord, près de 60 % des nids étaient généralement intacts après neuf jours.

Les chercheurs concluent que les oiseaux de rivage qui font l'effort de parcourir de grandes distances pour pondre leurs oeufs dans le Haut-Arctique ont davantage de chances de voir naître leurs petits.

Notre recherche indique que la diminution des risques de mortalité due à la prédation pourrait être le principal bénéfice qui compense les nombreux coûts engendrés par une migration vers le Grand Nord.

— Le biologiste Joël Bêty