récit #1

Voici quelques récits de notre périple. C'est pas complet ni parfait mais c'est mieux que rien.


Jour 1 Ça sent pas bon…

LE grand jour est enfin arrivé et on s’est donné rendez-vous chez moi à 5h30. 5h30 est devenu 5h00, et finalement Jean Yves est arrivé à 3h30 et Patrice à 4h30. On load le tout pour s’apercevoir que finalement on à pas mal de place. La remorque n’est pas tout à fait pleine et c’est très bien ainsi parce que la veille j’ai reçu une commande d’appelants flottants de mallards et de « full body » de canvasbacks et de pintail à Jean Yves, ils feront partie du voyage ;). On fini par prendre la route. On à décidé de laisser Jack en dehors de son kennel dans le camion pour pouvoir sauver de l’espace, mais aussi parce que une 30aine d’heures dans une cage c’est rough sur le moral. Rendu dans le tunnel Dorval, je dis ; « me semble que ça sent la cigarette…. ». « Non je trouve que ça sent le brulé » dit Patrice. « Criss arrête » de répondre Jean-Yves. Ça fait pas 1/2 heures que l’on est parti, que l’on est déjà arrêtés sur le bord de la 13. Regarde en dessous, sent les brake, la transmission cherche la boucane, mais on trouve rien. On repart en se disant que l’on sent plus rien et que ça devait être un camion que l’on suivait. C’est à ce moment que Patrice découvre la cause de notre soucis, sa foutu lampe frontale qui faisait un cours-circuit et qui pétille tellement c’est chaud la dedans. Ça va prendre plus qu’une lampe frontale défectueuse pour nous arrêter. On passe de la 13 à la 40 ouest. Avant longtemps le Québec devient l’Ontario, mais ça va prendre un méchant bout avant que l’Ontario se transforme en Manitoba…. On à frappé du trafic dans le coin de Ottawa, mais après ça, ça s’est bien passé (niveau trafic). Ç’était déjà pas mal platte de conduire sur ce chemin là, je commencerai pas à vous le décrire, mais disons que quand la nuit tombe, ça devient crucial d’avoir un bon copilote à ses côtés pour se tenir réveillé. Avec des avertissements de traverse d’orignaux à tout bout de champs, on garde l’œil ouvert. On s’arrête pour manger dans des villages qui ont pas de noms, et je peux vous dire qu’à partir de la mi chemin en Ontario, c’est comme un gros truck stop. Le jour finit par se lever sur l’Ontario et comme si pour s’excuser d’avoir été d’aussi piètre compagnie, l’Ontario nous aura offert notre premier spectacle aviaire d’un exotisme sans pareil. Un champs avec environ 200 grues du Canada. Bien entendu, on s’est arrêté pour admirer le spectacle qui grimpait en valeur avec chaque nouveau voilier de grues qui rentraient. Le chant de ces dernières est assez particulier aussi. On repart et on rentre finalement au Manitoba. Encore quelques heures de route et nous serons enfin rendu à destination. Après quelque choix douteux de notre copilote…. Les outardes trahissent leur présence en passages continus dans le ciel et dans les champs que l’on croise. On finit par retourner sur une route principale, on recherche le bon village ( où on achète nos permis Patrice et moi ) et on repart pour le point de rencontre. 30 minutes plus tard, on voit le sourire contagieux de Claude (Moyak) et de Françoise, sa femme. Ça nous aura pris 31 heures consécutives pour se rendre au Manitoba. Claude s’empresse de nous faire voir les champs qu’il à prévu pour le lendemain. Ensuite on va élire résidence dans notre palace. Disons que 3 gars, un chien et tout le stock, ça prend beaucoup de place dans une chambre d’hôtel. On dort sans problème malgré l’excitation qui est à son maximum pour notre première chasse au Manitoba.

Jour 2 Des outardes et des canards
Le lendemain, matin on à rendez-vous à 5h00 « chez Claude ». Une fois sur place, on se rend au champs (à 5 minutes) pour y monter notre setup. Clifford, l’ami de Claude et propriétaire terrien, est avec nous. Les outardes ne coopèrent pas autant que le voudrait Claude, mais on sortira quand même de là avec assez d’outardes pour être très satisfait de notre matinée. On prévoit déjà une passe du soir, reste à trouver le bon champs et s’installer pendant que les oies retournent à l’eau. En début d’Après midi, Patrice et moi décidons d’aller chasser du canard à cul levé dans une petit étang aperçu plus tôt. On s’approche doucement et 9 sarcelles s’envolent dans un grand fracas. Nos 3 coups chacun partent et alors que j’allais envoyer Jack chercher les canards, Patrice m’averti que celles qui se sont échappées….reviennent !!! À la fin, nous aurons récoltées 4 sarcelles à ailes bleues et 2 à ailes vertes. L’après midi, on vient pour aller s’installer à notre champs, mais les oies y sont déjà. Alors on décide d’aller chasser à l’eau où elles retourneront plus tard. Un setup minimal dans un trou d’eau d’environ 400 m par 100 m. On se cache à même les parois tout le tour du «trou » et on attend tranquillement. On retient nos appels puisque l’écho est très fort. Les outardes se mettent à rentrer par petites bandes et certains des tirs sont très spectaculaires puisque l’on tir des outardes en plein vol sur une ligne gauche droite. À ça se mèlent quelques canards. On chasse et l’orage menace en arrière champs. Qu’à cela ne tienne nous aurons fait une superbe chasse et les chiens (Jack et Moyak) auront travailler de façon spectaculaire. Le soir on rentre au palace et on fait dodo !! Jack ne se fait pas prier et il ne dit pas un mot, il dort.

Jour 3 fin du début

On est aller chasser le champs que l’on avait trouvé la veille. Une bonne pluie est venu laisser une couche de bouette qui va compliquer le tout. Les premières bandes rentrent et elles « flair » assez vite. On remanie l’agencement des caches et appelants et on reprend ça. À 9h30 notre chasse était finie. Elles sont rentrées par petites bandes et en plus, on à ramassées deux bagues, dont une sur la dernière de toutes. On quitte et on va déjeuner au resto du coin. Un « Hungryman » ça replace son homme. Le reste de la journée sera passé à nettoyer nos prises. En après midi, Clifford nous dit que son fils à vue un champs plein de grues du Canada et nous offre de nous y amener pour s’essayer sur ses majestueux oiseaux. Le plan consiste de nous laisser s’avancer le long de la ligne des arbres, pour pouvoir s’essayer à la passe. Malheureusement, elles n’étaient que 4 et son parti de la minute que l’on s’avançait vers le champs. Avec un peu de chance, ce sera partie remise en Saskatchewan. Le soir venu on rentre au palace pour y acrocher tout ce qui doit sécher. Faire un ménage dans la remorque pour pouvoir y mettre tout notre stock demain matin. On se couche de bonne heure puisque demain matin on part pour la Saskatchewan.

Parce que toute bonne chose à une fin.


Mercredi 27 septembre 2006.

Nous voici sur le chemin du retour. Ça fait plusieurs jours que je n’ai pas écrit nos récits, mais les derniers jours furent bien remplis. Puisque le but premier de notre voyage était de chasser l’oie à front blanc, on se devait de lever les feutres et aller rejoindre leur corridor migratoire. Le dernier soir au premier village, il reste cependant le temps pour une dernière chasse. On demandait la permission de chasser la Grue du Canada à la passe sur le terrain d’un monsieur qui aura vite fait de nous référer à un étang pas mal plus prometteur, où l’on a fait une chasse pour le moindre active. On courait partout question de trouver la passe des grues qui se rendait au dortoir. Le résultat est tout aussi concluant, 4 grues du Canada, dont un doublé pour moi !! (yes !) Quelques canards et une outarde géante se sont rajoutés au tableau. On a retenu nos coups de fusil (une maudite chance parce qu’à un moment il pleuvait des canards) pour récolter les grues et rajouter ces dernières à notre tableau de chasse…Chose faite ! Le lendemain matin on pacte nos petits et on reprend la route pour aller rejoindre un point qui nous à été donné par des gens de la place pour trouver de l’oie à front blanc. La première place à une réputation qui précède de loin son potentiel véritable. En effet, il est pratiquement impossible d’y chasser tant les pourvoyeurs ont la main mise sur les terrains offrant un certain potentiel. On à tout de même souper comme des cochons dans une petite taverne d’un village fantôme. Le lendemain matin on repart sur la route et le temps commence à nous manquer, dans deux jours on sera sur notre chemin de retour et la seule chose qui manque à notre tableau de récolte, est le but premier de notre voyage. On remonte donc vers le nord jusqu’à ce que l’on commence à croiser des oiseaux. À un moment, en retrait de la route. On aperçoit notre première grosse bande d’oies blanches. Des milliers d’oies blanches. En regardant de plus près, il y a aussi plusieurs milliers d’oies foncées, impossible de savoir s’il y a des oies à front blanc, mais c’est tout de même ce que l’on trouve de mieux et l’espoir est bon et fondé. Après tout on est dans le bon corridor migratoire. Pat fait usage de son charme naturel et va rencontrer une vieille femme qui habite la terre à côté question de connaître le propriétaire des lieux. Ils sont opposés à ce que l’on chasse sur leur terre puisqu’ils élèvent eux-mêmes quelques oiseaux et sont convaincus que si les oiseaux ont changée leur migration, c’est un peu à cause de eux…. On va acheter la carte des propriétaires terriens de la région et l’on va rencontrer la petite madame fort sympathique qui nous donne volontiers la permission de chasser tant et aussi longtemps qu’on la débarrasse de ces maudits oiseaux là !! (oies blanches). On continue notre prospection dans la région, mais, sans succès, il n’y a pas mieux que ce que l’on à et on ne pourra pas faire de chasse au canard ce soir. Après la prospection, on retourne pas loin de notre point de chasse pour le lendemain, question de voir ce qui se trouve là. 1 bonne nouvelle et 1 mauvaise. La bonne; il y a des oies à front blanc, la mauvaise; les oiseaux rentrent au plan d’eau malgré l’heure tardive. On ne peut que se demander si elles n’y passeront pas la nuit. Après avoir jasé de notre plan de match, on à décider qu’un y mettrait tout la gomme, alors un petit dodo et c’est reparti. À notre arrivée, on entend les oiseaux sur l’eau. Pas le choix, on continue, et de toute façon il ne peut pas y en avoir tant que ça qui dorment sur un petit trou d’eau comme ça…. Quand les oiseaux ont levé, je vous jure que l’on sentait le sol vibrer. Quelques-unes sont resté à l’eau, mais on ne peut que se demander si on a pas brûlé le spot. Qu’à cela ne tienne, il ne s’est pas tiré un coup de feu, et elles se sont posées dans un autre étang à proximité. On s’installe. Canards full body, Oies blanches full body, Silosocks et outardes full body. Les trois finishers seront bien camouflées grâce à un tas de foin coupé trouvé la veille lors de la prospection. Elles seront pratiquement invisibles. Pendant qu’on prépare les équipements, Jack lui fait ce qu’il veut et il n’écoute rien. Il passera donc la première partie de la chasse dans son kennel question de comprendre que la chasse est un privilège, pas un droit acquis. Et que s’il veut chasser, il devra écouter. Le premier oiseau qui passe à portée de tir, est la raison de notre voyage. Une oie à front blanc se frottera au tir redoutable de Jean-Yves. Elle tombe et l’on se dépêche de la récolter. Notre voyage peut enfin arborer son titre avec fierté, une oie à front blanc est récoltée. La suite des choses est un peu chaotique et floue dans mon esprit. À un certain point, il y avait tellement d’oiseaux dans le ciel, ç’en était étourdissant. En un rien de temps, notre limite de specks et d’outarde et remplie. On devra se contenter de regarder le spectacle avec les outardes et les fronts blancs qui rentrent par millier et à portée de tir. On a eu pas mal de plaisir à tirer les oies Ross qui rentrent dans les appelants comme des snow birds en plein spectacle. Quand on dit que les oies descendent comme des feuilles, ben celles-là redéfinissent cette expression. On dirait des malards avec quelque chose à prouver qui décrochent du ciel. Rendu là Jack est de retour, et une chance. À sa sortie de son kennel une petite drill de assis, coucher au pied et reste, suffisent à lui faire comprendre son rang et le mien. Dès qu’il revient, c’est un autre chien complètement. Il a fait de sacrés rapports jusqu’à l’autre bord du lac. Quelques blinds et pourchasser des oiseaux blessés qui tentaient d’échapper à son instinct. Ce fut notre dernière chasse de notre périple. On est pas fâchés non plus puiqu’on est fatigués et on à hâte de revoir notre petit monde. Ce fut une des plus belles chasse qui m’est été donné de vivre, et elle restera longtemps gravée dans ma mémoire comme étant la dernière chasse de mon premier voyage en Saskatchewan.

On the road again.


On est parti de Saskatchewan le mercredi matin à 6h30 am. On à conduit tout le temps sans s’arrêter jusqu’à tard dans la nuit. Quelque part en Ontario, on s’est permis 36 minutes de sommeil. Ça devient difficile de rester attentif et éveillé quand il fait aussi sombre et à plusieurs reprises quelques chevreuils en bordure de route nous ont rappelé qu’ils n’attendaient que le bon moment pour mettre nos réflexes à l’épreuve. On alterne nos postes de chauffeurs, mais il est particulièrement difficile de dormir en plein jour, sur la banquette arrière que l’on se partage avec Jack, qui commence à trouver que notre spot de chasse est loin en maudit ce matin !! Il tourne en rond et exprime tout haut ce que nous pensons tous tout bas; quand est-ce que l’on arrive calvaire !! On n’était pas loin de la frontière de l’Alberta, alors on n’est pas loin d’une traversée en continu de notre beau pays. On en a vu de toutes les couleurs. Les perdrix suicidaires, les paysages à couper le souffle se succèdent et les coins miteux aussi. On n’est pas encore arrivé que c’est déjà l’heure des bilans. En faisant une synthèse de ce qui nous à été donné de voir, on s’aperçoit que le nord de la Saskatchewan et du Manitoba ressemble à un gros truck stop. Aucun chic, aucun charme. À mi-chemin entre la cour à scrape et le village fantôme. C’est à se demander si cette région n’est pas suspendue dans le temps depuis les coupures d’exportation de bœuf aux États-Unis tant la misère y est omniprésente. Les vieux véhicules s’amassent dans toutes les cours et les bâtiments de fermes laissées à l’abandon sont partout et retiennent leur souffle de peur que ce soit leur dernier. Les gens, en contrepartie, sont tellement accueillants, que l’on se fait vite des amis que l’on promet de retourner voir et qui rendront notre prochain voyage plus facile et nous font sentir que l’on fait dorénavant partie des initiés de ce coin de pays. L’Ontario est tellement long qu’il devrait se séparer, ça ferait moins long pour aller au Manitoba. Les paysages en bordure des grands lacs sont tout simplement époustouflants, la prochaine fois, je tente de rester réveiller pour les apprécier à leur juste valeur. Ce voyage me fait réaliser à quel point l’image des chasseurs est en souffrance au Québec. Dans l’ouest, les chasseurs sont une délivrance pour les fermiers qui perdent des récoltes complètes de blé parce que 70,000 oies sont venues s’y nourrir au printemps avant que le fermier n’ait accès à son champ. Ils vous donneront volontiers la permission de chasser et ils prendront une petite heure de leur temps pour vous expliquer où vous devriez aller pour maximiser vos chances de récolte. On vous retourne votre politesse et vos bons souhaits et l’on est parfaitement conscient qu’en plus de jouer un rôle de conservation, les chasseurs font rouler une économie locale qui ne pourrait exister autrement. Dans un autre ordre d’idée, j’aurais dû acheter des actions de Pétro Canada avant de partir, je suis certain qu’elles ont monté. Le véhicule de Jean-Yves est en superbe état et roule très bien, il n’est cependant pas équipé d’un gros réservoir (genre f-150), et, puisque le poids de la remorque se fait sentir, nous devons arrêter régulièrement mettre de l’essence (soit environ aux 250 Km). Calculez ça comme vous voulez, mais si on considère que l’on fait 9,000 Km pendant notre voyage, ça fait que l’on arrête 36 fois, mettons 10 minutes chacun, ça fait 360 minutes, ce qui fait 6 heures en tout de passer à mettre du gaz!!!! Ce n’est pas rien !! Si vous aller dans ce coin-là, essayez de vous louer une maison ou un appart, c’est nettement plus pratique que d’essayer de nettoyer 70 oiseaux sur le trottoir devant les autres chambres du motel avec les plumes qui volent au vent. Demandez aux commerces locaux, ils seront en mesure de vous aider dans vos recherches. Les réflexions sur notre voyage suivront avec le temps. Nos perspectives changeront légèrement et certaines déductions seront partagées et d’autres resteront privilèges du prospecteur. Celui qui est aller et qui garde les plus belles images comme fond d’écran quand il ferme les yeux. N’aller pas croire que c’est par égoïsme, c’est plutôt parce que trois pages de mots et 10 photos ne suffiraient pas à décrire ce que nous avons vécu. Avec un peu de chance les trois vidéos que l’on à fait pendant notre périple, sauront tout de même vous donner une vague impression de ce que vous avez manqué. On aurait pus en faire plus, mais ça aurait été au détriment d’opportunité de chasse et je n’étais pas prêt à en sacrifié plus que ça. Je suis pas aller jusque là pour ne pas chasser. Désolé.

STI , tu me fait tripper ben raide avec vos récit !

Plus ca va , plus j'me dit que j'vais être obliger d'y aller dans 1 ans ou 2 !!

Très beau récit!

Quel est le décompte total de vos oiseaux récoltés ?


Ciao!
Seb

je continuerai à en mettre au fur et à mesure...

Mechant paysage avec la riviere! Wow! Merci pour les photos et d'avoir pris le temps d'ecrire tes topos... ben le fun lire!

Ciao!
Hugues

Bravo a vous trois déja que de traverser la moitié du Canada c'est toff, d'autant que l'drénaline coule a flot avec la hâte d'y arriver, je ne peut que vous lever mon chapeau bien haut.

Quand la fatigue se seras discipé, et que les nombreux souvenir reviendrons a votre mémoire, vous aurez sans aucun doute déja hâte d'y retourner. Je me jure qu'un jour je ferai se voyage de rêve, et je me voit déja dedans a travers vos récits.


Brovo les gars objectif atteint.

voici quelques unes de mes photos. Toutes les autres sont dans le MAC de Mathieu alors vous devrez attendre quelques jours.


du gaz...du gaz.....encore du gaz....!



Derniere chasse au Manitoba (limite a 5 gars dont 2 baguées)



1ere chasse en Saskatchewan (50 oies, quasiment la moitié de bleues)



chasse d'apres-midi en Saskatchewan sur un pond (9 especes différentes)



1ere chasse de soirée en Saskatchewan avec Moyak



champ de cranes en Saskatchewan(grues)



Pond de notre derniere chasse en Saskatchewan



Beaucoup de ca un peu partout en Saskatchewan



Gélinotte a queue fine (dommage la camera sur le gun a pas fonctionnée)



On dort comme on peut!

Maudit beau recit mathieu vous avez vraiment fait un beau viyage

Quelques p'tits vidéos amateurs (lire tres amateurs) a comparé de ce que vous verrez bientôt. Oreilles chastes s'abstenir!!!

PROSPECTION

Click here to watch Saskatchewan-056

FLOCKS

Click here to watch Saskatchewan-055

FLOCKS EN PRÉVISION DE NOTRE DERNIERE CHASSE

Click here to watch Saskatchewan-054

Vraiment trop hot votre récit de chasse!!! Vous me faites rêver comme ca se peut pas !!! Je pars avec vous si vous y retournez !!

merci pat pour le compément des photos et sont super bons les video!!! WOW

Trop fou vos vidéo, jaime bien votre idée de taper la caméra apres le 12 !!!

Jespere que vous allez nous faire un ptit dvd de vos photos de chasse et de vos vidéo !!!

Ca serait vraiment le fun voir ca en haute défénition !!

Je suis entrain d'essayer de mettre les videos de Mathieu sur Putfile au lieu de Photobucket car tout le contenu visuel est completement offset par rapport a la musique.

Quelqu'un connait un hébergeur gratuit qui accepte un video de plus de 25mb?

C'est pesant mais ostie que ca vaut la peine que vous puissiez apprécier le travail que Mathieu a mis là-dedans.

Faut trouver une solution.

P.S.: La caméra est scrap a cause de cette idée en passant Je ne le vous conseille pas pantoute a moins d'en vouloir une neuve. Y'a beaucoup trop de vibration suite au recul de l'arme et ca a endommagé les têtes tres sévèrement. C'était une bonne idée visuelement mais pas monétairement.

wow !!! tout simplement débile !!

cest vraiment FOU!!!

Fek si je comprend, vous avez tuez vos premiere speck!! Bravo

WOW, tres impressionnant!!!!!!!!!!!!
Vous avez vécu une superbe expérience!!!!

Des photos, des photos, on en veux plus!!!!!

Yes sir les boyz belles chasses!!!! Sa va resté gravé toute votre vie!

Méga uplaod, maximum 250mo

http://www.megaupload.com/fr/

RapidShare, maximum 300mo

http://www.rapidshare.de/

Pour vidéo de 20mo et moin utiliser vidéo-chasse-peche, hébergeur très fiable.

www.video-chasse-peche.net

Merci beaucoup Marin, je vais aller vérifier ca de ce pas!

Pour ceux qui ne le savaient pas Mathieu est un artiste, ce que vous voyez dans les clips c'est pas vraiment la chasse telle qu'elle s'est déroulée c'est la vision, la création de Mathieu!
Si Mathieu vous filme en train de passer la tondeuse dans votre cours, il en fera le vidéo de l'année et tout le monde tripera à l'os je vous le jure!
Mon conseil pour ceux qui veulent faire des DVD et en vendre, faites affaire avec Mathieu et vous allez dominer le marché!

Bravo Mathieu

Decoy

Je peux savoir ce que fait Decoy avec un antilope dans le film